Manipulation de l'esprit (théâtre)
Pendant son sommeil, les criminels du Gang Stalking par le biais du logiciel de torture avaient introduit des scènes érotiques dans ses rêves pour tenter de la faire agir selon leurs fantasmes et lui faire dire ce qu’ils voulaient lui faire dire selon le portrait qu’ils avaient dressé d’elle aux yeux des autres, fabriqué et diffusé largement sur internet.
En introduisant ainsi des images dans ses rêves et en lui soufflant les paroles à dire, ils pouvaient tout enregistrer en audio-vidéo tout ce qui se passait dans son rêve et réaliser les truquages nécessaires pour lui nuire, ensuite. Et, une fois qu’ils avaient mises les paroles dans sa bouche durant son sommeil, ils la réveillaient brutalement par une attaque aux armes électromagnétiques en guise de punition.
Ils lui ont fait extrêmement mal avec des micro-ondes à une très forte puissance. Ces meurtriers la punissaient comme si elle avait fait quelque chose de vraiment très répréhensible et méritait la peine de mort. Ils la faisaient carrément cuire!
En fait, ce n’était qu’un prétexte. C’était une mise en scène qu’ils avaient élaborée dans le but de les stimuler à lui faire du mal. Ils avaient donc mis dans sa bouche les mots qui leur donnaient le signal pour la faire énormément souffrir.
Pierre, Marie, Gaston et Victor étaient les noms qu’ils utilisaient avec elle. Disons que Pierre, l’imposteur, était celui qui parlait avec elle via le V2K (Voice to skull). Il utilisait ces noms avec elle pour désigner ceux qui la torturaient avec les armes électromagnétiques. La plupart des choses qui lui disait servaient à lui faire de la cruauté mentale en même temps que les autres la torturaient physiquement avec les armes électromagnétiques.
Mardi, le 22 février, 3 heures du matin...
Elle dormait quand tout à coup, elle été réveillée par un gros rayon de micro-ondes à très forte intensité. C’était comme jamais auparavant. Celui-ci envahissait douloureusement tout son corps. Ses acouphènes était devenus très, très forts.
3h15 du matin.
Pierre (l’imposteur), essayant de susciter la colère de France pour stimuler Victor à lui faire mal - Le gars d'à côté (il nomme son nom), est en train de te désintégrer avec son «gun» à micro-ondes à 100 Ghz, 25, 999 uw/cm2.
Elle venait de faire un rêve provoqué par Marie, la fille. Dans ce rêve, France disait à un jeune homme qu’elle avait rêvé qu’elle avait fait l’amour avec lui. Dans le rêve, elle était toute jeune, tout comme le gars avec qui elle était. Cependant, elle n’avait rien dit ni rien fait de tout cela. Rien n’était vrai!
Elle savait donc que c’était quelqu’un qui s’était introduit dans son rêve. Elle n’avait pas fait l’amour avec le gars ni rêvé à cela, non plus. Et, elle n’avait vraiment pas l’habitude de mentir, encore moins en rêve. Cependant, elle savait très bien que ses bourreaux en avaient l’habitude, eux. Ils essayaient toujours de lui faire faire les choses qui correspondaient à ce qu’ils avaient fait croire à son propos. Mais, elle ne marchait jamais dans leur jeu car ce n’était pas du tout sa façon d’agir habituelle. C’était carrément un piège.
Elle croyait que Marie, Gaston et Pierre voulaient inciter Victor, l’extrémiste d’à côté, à lui faire très mal. Elle croyait aussi qu’ils voudraient même la faire tuer par lui en mettant des paroles dans sa bouche qui le stimuleraient.
Le dialogue se poursuivit ainsi:
Pierre, l'imposteur, d’un ton calme et froid. - Il est en train de te tuer, France.
France, stupéfaite de son inaction à lui venir en aide. - Puis toi, tu reste là!... À me regarder souffrir!
Pierre, l’imposteur, toujours aussi distant. - Je ne peux rien y faire, France.
Après quelques minutes...
Pierre, l’imposteur, affirmant d’un ton glacial. - Je suis d’accord avec eux autres. Tu sais trop de choses.
4h18
Mais, France a réalisé que c’était plutôt Gaston qui semblait mettre les micro-ondes à une si haute fréquence. Et, elle ressentait qu’ils essayaient de lui faire croire que c’était Victor, le gars d’à côté, qui utilisait ce prétexte pour lui faire mal. Mais, elle avait entendu leurs voix sans toutefois comprendre ce qu’ils disaient. C’était Gaston et Marie qui étaient encore en train d’argumenter comme s’ils étaient dans la pièce d’à côté, chez la voisine. Mais, en fait, c’était encore l’une de leurs mises en scène qu’ils avaient enregistrée et qu’ils passaient en continu dans le «Voice to skull» pour qu’elle croit que Marie ne voulait pas lui faire de mal, mais que Gaston la forçait. Elle s’en était aperçu car ce qu’elle entendait semblait être exactement la même chose que d’habitude.
Pendant ce temps, la fréquence des micro-ondes était tellement forte que leurs effets sur son corps étaient douloureusement violents. Elle a éprouvé beaucoup de difficulté à marcher pour se rendre à la cuisine. Elle a dû se jeter par terre pour sortir de son fauteuil car c’était impossible de rester là tant l’expérience était douloureuse. Ensuite, elle s’est traînée et s’est levée en se tenant après es murs pour se rendre à la cuisine. Elle avait très mal à une oreille et son corps au complet semblait était envahi par ces ondes très douloureuses qui la pénétraient de toutes parts. Elle pouvait ressentir une très forte vibration en même temps que les micro-ondes qui desséchaient son corps. Son oeil droit qui avait été brulé antérieurement au laser, était très sec et très douloureux.
4h26
J’étais allée chercher ma caméra pour filmer et enregistrer la scène. Mais, voyant cela, ils avaient baissé la fréquence. Ils avaient mis plutôt le laser interne très fort. Ça me brûlait l’intérieur du corps et ça me faisait très mal. Après quelques minutes, ils ont encore augmenté la fréquence. Mais, ils l’ont baissé encore une fois peu de temps après lorsqu’ils s’étaient aperçus que je les enregistrais. Ils ont ainsi poursuivi l’enregistrement du scénario de la chicane entre Gaston et Marie. Puis, ils ont commencé à m’empaler avec des rayons laser un peu partout sur le corps.
Alors, j’ écrivais et me parlais à moi-même en me disant: «La scène de chicane sert à me faire croire que la fille ne veut pas me faire du mal et que l'autre la force à le faire. Mais, c'est faux! », je le savais.
L’imposteur écoutant tout ce que je me disais et voyant ce que j’écrivais sur internet, a tenté de me convaincre que tout ce que je pensais était faux parce qu’il constatait que je les avais démasqué.
Pierre, l’imposteur. - Je t’ai menti, France.
Pousuivant...
Pierre, l’imposteur. - Je ne suis pas d’accord avec ce qu’ils te font.
Et, voyant que je dévoilais au monde sur internet que Marie feignait celle qui était forcée, Pierre a tenté de la protéger.
Pierre, l’imposteur - Je t’ai encore menti France. Ce n’est pas elle qui essayait de te mettre des choses dans tes rêves. C’est Gaston!.
Pourtant, il savait que j’étais au courant que c’était Marie qui avait l’habitude d’imposer ses fantasmes à mon esprit. Mais, comme d’habitude, il s’essayait.
France. - Tu essaies encore de la protéger.
Se parlant à lui-même mais assez fort pour que France l’entende à travers le V2K:
Pierre, l’imposteur. - Elle ne me crois pas...
Pendant qu’elle écrivait ces lignes, il disait:
Pierre, l’imposteur. - Je capote!
Elle ne se rappelait pas la raison qu’il m’avait donné en excuse pour lui avoir dit qu’il était d’accord lorsqu’ils me faisaient très mal.
France. - C’était quoi ta raison déjà?Pierre, l’imposteur. - Je n’ai pas fait exprès, France.
5h17
L’enregistrement du scénario de la chicane entre Marie et Gaston jouait toujours.
5h30
Ils ont remis les micro-ondes en suspension dans l’air à une très haute fréquence.
Je ne savais pas à quel jeu ils jouaient, mais ils ont réussi à me faire lever à cause de la douleur. Puis, je suis allée écrire. De plus, j’essayais d’enregistrer le bruit et la vibration des micro-ondes à cette intensité avec mon enregistreuse mécanique mais elle ne fonctionnait pas vraiment. Elle enregistrait que quelques secondes à la fois puis s’arrêtait.
Pierre, l’imposteur. - Non, France. Ils voulaient te faire peur en te faisant croire qu’ils essayaient de te tuer.
L’imposteur m’entendant penser à partir de son logiciel sur son ordinateur et lui ayant aussi vu manipuler son enregistreuse, passa son commentaire.
Pierre, l’imposteur - Ils ont brisé ton enregistreuse depuis longtemps. C’est pour cela qu’ils capotent lorsque ça fonctionne. Ce n’était pas censé fonctionner du tout.
En tout cas, ils voulaient la réveiller bien comme il faut. Cela s’est passé exactement à l’heure de pointe de ces bourreaux: 3 heures du matin. Et, pendant qu’elle écrivait, ils continuaient à l’empaler tandis qu’elle passait le petit miroir sur ses douleurs pour couper les rayons.
5 h50
Pierre, l’imposteur. - C’est vrai, France. Ils ont mis les micro-ondes parce que tu as dis dans ton rêve que tu avais fait l’amour avec le gars.
France, choquée. - Ce n’est pas moi qui a dit ça. Car, je ne dis pas des choses que je sais être fausses.
Pierre, l’imposteur avoua. - C’est vrai. C’est moi qui a dit ça.
Il avait l’habitude d’essayer de mettre des mots dans sa bouche, pour lui faire de l’auto-suggestion, pour qu’elle les capte et les prononce. Cela constitue l’une de ses tâches. Finalement, c’est elle qui avait l’air de dire et de penser ces choses qui ne lui appartenaient pas. Il agissait dans cette situation comme un souffleur de mots qui se tient en coulisse d’une scène de théâtre. En même temps, elle écrivait ce qu’elle pensait sur internet et plus particulièrement sur «Twitter».
France, écrivant ces mots sur internet en les prononçant. - J'ai trouvé que cette scène serait intéressante en guise d'exemple de manipulation de l'esprit avec les armes psychotroniques.
Le temps passant, elle s’étirait. Mais, Pierre voyait ce qu’elle faisait et ayant pour rôle d’informer les autres, il le disait assez fort pour qu’elle l’entende. Car tout ce qu’elle entendait, elle le disait dans sa tête ou tout haut et ce contenu se retrouvait sur le logiciel de ceux qui tentaient de contrôler son esprit.
Pierre, l’imposteur se parlant à lui-même. - Elle s’étire!... Ils capotent!
Poursuivant...
Pierre, faisant de la suggestion mentale. - Tu ne devrais pas t’étirer comme ça, tu vas casser.
France, exaspérée de ses intrusions. - Veux-tu bien!
7 h 07
La tête lui faisait toujours très mal et le corps continuait de lui brûler.
http://francequenneville.blogspot.com/2010/12/manipulation-de-lesprit-un-scenario-de.html
http://francequenneville.blogspot.com/2010/12/les-reves-etranges-manipulation-de.html
http://francequenneville.blogspot.com/2010/10/crime-haineux-contre-les-femmes.html
http://francequenneville.blogspot.com/2010/12/gangs-de-rue-et-individus-cibles.html
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http://francequenneville.blogspot.com/2010/11/diffamation-extreme.html
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http://francequenneville.blogspot.com/2010/11/linjustice-de-la-vraie-justice.html
http://francequenneville.blogspot.com/2010/10/une-business-lucrative-pour-les-gangs.html
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http://francequenneville.blogspot.com/2010/09/un-gang-de-jeunes-du-coin.html
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En introduisant ainsi des images dans ses rêves et en lui soufflant les paroles à dire, ils pouvaient tout enregistrer en audio-vidéo tout ce qui se passait dans son rêve et réaliser les truquages nécessaires pour lui nuire, ensuite. Et, une fois qu’ils avaient mises les paroles dans sa bouche durant son sommeil, ils la réveillaient brutalement par une attaque aux armes électromagnétiques en guise de punition.
Ils lui ont fait extrêmement mal avec des micro-ondes à une très forte puissance. Ces meurtriers la punissaient comme si elle avait fait quelque chose de vraiment très répréhensible et méritait la peine de mort. Ils la faisaient carrément cuire!
En fait, ce n’était qu’un prétexte. C’était une mise en scène qu’ils avaient élaborée dans le but de les stimuler à lui faire du mal. Ils avaient donc mis dans sa bouche les mots qui leur donnaient le signal pour la faire énormément souffrir.
Pierre, Marie, Gaston et Victor étaient les noms qu’ils utilisaient avec elle. Disons que Pierre, l’imposteur, était celui qui parlait avec elle via le V2K (Voice to skull). Il utilisait ces noms avec elle pour désigner ceux qui la torturaient avec les armes électromagnétiques. La plupart des choses qui lui disait servaient à lui faire de la cruauté mentale en même temps que les autres la torturaient physiquement avec les armes électromagnétiques.
Mardi, le 22 février, 3 heures du matin...
Elle dormait quand tout à coup, elle été réveillée par un gros rayon de micro-ondes à très forte intensité. C’était comme jamais auparavant. Celui-ci envahissait douloureusement tout son corps. Ses acouphènes était devenus très, très forts.
3h15 du matin.
Pierre (l’imposteur), essayant de susciter la colère de France pour stimuler Victor à lui faire mal - Le gars d'à côté (il nomme son nom), est en train de te désintégrer avec son «gun» à micro-ondes à 100 Ghz, 25, 999 uw/cm2.
Elle venait de faire un rêve provoqué par Marie, la fille. Dans ce rêve, France disait à un jeune homme qu’elle avait rêvé qu’elle avait fait l’amour avec lui. Dans le rêve, elle était toute jeune, tout comme le gars avec qui elle était. Cependant, elle n’avait rien dit ni rien fait de tout cela. Rien n’était vrai!
Elle savait donc que c’était quelqu’un qui s’était introduit dans son rêve. Elle n’avait pas fait l’amour avec le gars ni rêvé à cela, non plus. Et, elle n’avait vraiment pas l’habitude de mentir, encore moins en rêve. Cependant, elle savait très bien que ses bourreaux en avaient l’habitude, eux. Ils essayaient toujours de lui faire faire les choses qui correspondaient à ce qu’ils avaient fait croire à son propos. Mais, elle ne marchait jamais dans leur jeu car ce n’était pas du tout sa façon d’agir habituelle. C’était carrément un piège.
Elle croyait que Marie, Gaston et Pierre voulaient inciter Victor, l’extrémiste d’à côté, à lui faire très mal. Elle croyait aussi qu’ils voudraient même la faire tuer par lui en mettant des paroles dans sa bouche qui le stimuleraient.
Le dialogue se poursuivit ainsi:
Pierre, l'imposteur, d’un ton calme et froid. - Il est en train de te tuer, France.
France, stupéfaite de son inaction à lui venir en aide. - Puis toi, tu reste là!... À me regarder souffrir!
Pierre, l’imposteur, toujours aussi distant. - Je ne peux rien y faire, France.
Après quelques minutes...
Pierre, l’imposteur, affirmant d’un ton glacial. - Je suis d’accord avec eux autres. Tu sais trop de choses.
4h18
Mais, France a réalisé que c’était plutôt Gaston qui semblait mettre les micro-ondes à une si haute fréquence. Et, elle ressentait qu’ils essayaient de lui faire croire que c’était Victor, le gars d’à côté, qui utilisait ce prétexte pour lui faire mal. Mais, elle avait entendu leurs voix sans toutefois comprendre ce qu’ils disaient. C’était Gaston et Marie qui étaient encore en train d’argumenter comme s’ils étaient dans la pièce d’à côté, chez la voisine. Mais, en fait, c’était encore l’une de leurs mises en scène qu’ils avaient enregistrée et qu’ils passaient en continu dans le «Voice to skull» pour qu’elle croit que Marie ne voulait pas lui faire de mal, mais que Gaston la forçait. Elle s’en était aperçu car ce qu’elle entendait semblait être exactement la même chose que d’habitude.
Pendant ce temps, la fréquence des micro-ondes était tellement forte que leurs effets sur son corps étaient douloureusement violents. Elle a éprouvé beaucoup de difficulté à marcher pour se rendre à la cuisine. Elle a dû se jeter par terre pour sortir de son fauteuil car c’était impossible de rester là tant l’expérience était douloureuse. Ensuite, elle s’est traînée et s’est levée en se tenant après es murs pour se rendre à la cuisine. Elle avait très mal à une oreille et son corps au complet semblait était envahi par ces ondes très douloureuses qui la pénétraient de toutes parts. Elle pouvait ressentir une très forte vibration en même temps que les micro-ondes qui desséchaient son corps. Son oeil droit qui avait été brulé antérieurement au laser, était très sec et très douloureux.
4h26
J’étais allée chercher ma caméra pour filmer et enregistrer la scène. Mais, voyant cela, ils avaient baissé la fréquence. Ils avaient mis plutôt le laser interne très fort. Ça me brûlait l’intérieur du corps et ça me faisait très mal. Après quelques minutes, ils ont encore augmenté la fréquence. Mais, ils l’ont baissé encore une fois peu de temps après lorsqu’ils s’étaient aperçus que je les enregistrais. Ils ont ainsi poursuivi l’enregistrement du scénario de la chicane entre Gaston et Marie. Puis, ils ont commencé à m’empaler avec des rayons laser un peu partout sur le corps.
Alors, j’ écrivais et me parlais à moi-même en me disant: «La scène de chicane sert à me faire croire que la fille ne veut pas me faire du mal et que l'autre la force à le faire. Mais, c'est faux! », je le savais.
L’imposteur écoutant tout ce que je me disais et voyant ce que j’écrivais sur internet, a tenté de me convaincre que tout ce que je pensais était faux parce qu’il constatait que je les avais démasqué.
Pierre, l’imposteur. - Je t’ai menti, France.
Pousuivant...
Pierre, l’imposteur. - Je ne suis pas d’accord avec ce qu’ils te font.
Et, voyant que je dévoilais au monde sur internet que Marie feignait celle qui était forcée, Pierre a tenté de la protéger.
Pierre, l’imposteur - Je t’ai encore menti France. Ce n’est pas elle qui essayait de te mettre des choses dans tes rêves. C’est Gaston!.
Pourtant, il savait que j’étais au courant que c’était Marie qui avait l’habitude d’imposer ses fantasmes à mon esprit. Mais, comme d’habitude, il s’essayait.
France. - Tu essaies encore de la protéger.
Se parlant à lui-même mais assez fort pour que France l’entende à travers le V2K:
Pierre, l’imposteur. - Elle ne me crois pas...
Pendant qu’elle écrivait ces lignes, il disait:
Pierre, l’imposteur. - Je capote!
Elle ne se rappelait pas la raison qu’il m’avait donné en excuse pour lui avoir dit qu’il était d’accord lorsqu’ils me faisaient très mal.
France. - C’était quoi ta raison déjà?Pierre, l’imposteur. - Je n’ai pas fait exprès, France.
5h17
L’enregistrement du scénario de la chicane entre Marie et Gaston jouait toujours.
5h30
Ils ont remis les micro-ondes en suspension dans l’air à une très haute fréquence.
Je ne savais pas à quel jeu ils jouaient, mais ils ont réussi à me faire lever à cause de la douleur. Puis, je suis allée écrire. De plus, j’essayais d’enregistrer le bruit et la vibration des micro-ondes à cette intensité avec mon enregistreuse mécanique mais elle ne fonctionnait pas vraiment. Elle enregistrait que quelques secondes à la fois puis s’arrêtait.
Pierre, l’imposteur. - Non, France. Ils voulaient te faire peur en te faisant croire qu’ils essayaient de te tuer.
L’imposteur m’entendant penser à partir de son logiciel sur son ordinateur et lui ayant aussi vu manipuler son enregistreuse, passa son commentaire.
Pierre, l’imposteur - Ils ont brisé ton enregistreuse depuis longtemps. C’est pour cela qu’ils capotent lorsque ça fonctionne. Ce n’était pas censé fonctionner du tout.
En tout cas, ils voulaient la réveiller bien comme il faut. Cela s’est passé exactement à l’heure de pointe de ces bourreaux: 3 heures du matin. Et, pendant qu’elle écrivait, ils continuaient à l’empaler tandis qu’elle passait le petit miroir sur ses douleurs pour couper les rayons.
5 h50
Pierre, l’imposteur. - C’est vrai, France. Ils ont mis les micro-ondes parce que tu as dis dans ton rêve que tu avais fait l’amour avec le gars.
France, choquée. - Ce n’est pas moi qui a dit ça. Car, je ne dis pas des choses que je sais être fausses.
Pierre, l’imposteur avoua. - C’est vrai. C’est moi qui a dit ça.
Il avait l’habitude d’essayer de mettre des mots dans sa bouche, pour lui faire de l’auto-suggestion, pour qu’elle les capte et les prononce. Cela constitue l’une de ses tâches. Finalement, c’est elle qui avait l’air de dire et de penser ces choses qui ne lui appartenaient pas. Il agissait dans cette situation comme un souffleur de mots qui se tient en coulisse d’une scène de théâtre. En même temps, elle écrivait ce qu’elle pensait sur internet et plus particulièrement sur «Twitter».
France, écrivant ces mots sur internet en les prononçant. - J'ai trouvé que cette scène serait intéressante en guise d'exemple de manipulation de l'esprit avec les armes psychotroniques.
Le temps passant, elle s’étirait. Mais, Pierre voyait ce qu’elle faisait et ayant pour rôle d’informer les autres, il le disait assez fort pour qu’elle l’entende. Car tout ce qu’elle entendait, elle le disait dans sa tête ou tout haut et ce contenu se retrouvait sur le logiciel de ceux qui tentaient de contrôler son esprit.
Pierre, l’imposteur se parlant à lui-même. - Elle s’étire!... Ils capotent!
Poursuivant...
Pierre, faisant de la suggestion mentale. - Tu ne devrais pas t’étirer comme ça, tu vas casser.
France, exaspérée de ses intrusions. - Veux-tu bien!
7 h 07
La tête lui faisait toujours très mal et le corps continuait de lui brûler.
http://francequenneville.blogspot.com/2010/12/manipulation-de-lesprit-un-scenario-de.html
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