GANG STALKING Harcèlement urbain: Torture: cuisson aux micro-ondes

dimanche 28 août 2011

Torture: cuisson aux micro-ondes

Journal 26 août 2011 (témoignage)

Torture: cuisson aux micro-ondes
1h45 J’ai été réveillée par une forte décharge de micro-ondes envoyée avec une intensité montant à une vitesse dont le bruit se faisait entendre comme le chant sourd d’un moteur qui gronde de plus en plus fort. La fréquence de ces ondes se resserrait de plus en plus. Et, mon corps était pénétré par ces millions de particules agressives qui le faisait bouillir de douleur.

Les cuiseurs d’êtres humains, eux, étaient installés en face de leur écran à regarder le résultat de leur cuisine. Par moment, ils discutaient de la véracité de ma souffrance et de l’intensité mes douleurs, croyant que leurs appareils savaient plus que moi ce que je ressentais. Cela se passait comme si ces appareils imitant les mécanismes du corps humain étaient plus significatifs et plus authentiques que le corps lui-même. L’échelle pour quantifier l’intensité des douleurs s’étend habituellement sur cinq degrés représentés par cinq couleurs différentes. La cote la plus haute associée à une certaine intensité ne tient aucun compte de l’idiosyncrasie des victimes ni de leur seuil de tolérance. La possibilité que la victime ressente plus intensément la douleur que le sommet présumé ne faisait aucunement partie de leurs considérations. Ces tortionnaires croyaient que cette machinerie ne causait pas vraiment de douleur. De plus, on leur avait fait croire que leurs victimes innocentes étaient de vrais parias de la société qui se plaignaient pour rien. Cependant, ils savaient très bien que le mensonge était le fondement de toute cette affaire. Mais, ils se racontaient des histoires et ils y croyaient. Cela devait être plus facile comme ça parce que torturer des innocents gratuitement ou même payé pour le faire, il ne faut pas être très sain d’esprit. D’ailleurs, comment peut-on administrer de la torture et penser que la personne ne souffre pas vraiment?

J’avais reçu une décharge prolongée du même genre pendant que je dormais. Cette sensation s’était mêlée à mes rêves. Mais, je me demandais bien comment se faisait-il que je ne me sois pas réveillée alors. L’imposteur me l’a dit, il m’avait hypnotisée. Comme d’habitude, il avait fait en sorte que je demeure endormie, immobile et surtout inconsciente de tout ce qui se passait pendant ce traitement de fou. Ces tortionnaires n’avaient cependant pas imaginé pas que je pourrais tenir compte de mon rêve comme étant une une réalité vécue. Pourtant, autant que je sache, ils ont la possibilité de voir sur leur écran tout ce que je vois et pense autant éveillée qu’en rêve.

Alors donc, j’étais allongé sur ma causeuse au salon pendant que le sensor qui soutenait l’énorme rayon laser en diffusion dirigé sur mon corps était sous moi et me brûlait intensément. Néanmoins, l’effet de brûlure atténué par les gaz réfrigérants était beaucoup moins ressenti. Mais, si je me levais, je savais bien que ce dispositif me suivrait.

Ne pouvant aucunement supporter ce supplice et étant encore capable de bouger, je me suis levée pour aller ailleurs. Eux, m’avaient regardé marcher avec quelle difficulté je me déplaçais. Étant donné que leurs sévices amplifiait mon ataxie, il se trouvait que en plus, elle était exacerbée par un corps qui épuisait ses réserves d’énergie aussi rapidement que l’intensité des micro-ondes. Mais, comme d’habitude, ils feignaient ne pas connaître mon handicap. L’imposteur, sachant qu’il ne pouvait pas me duper sur ce point, avait dit à son acolyte sur un ton froid que tout rentrerait dans l’ordre en quelques heures. Il lui avait laissé entendre que ce qu’on m’avait fait que je qualifiait de sadisme, ne laisserait aucune trace et que rien ne paraitrait aux yeux des autres. Je suis donc allée faire un peu d’écriture comme j’en avais l’habitude lorsqu’ils me torturaient au point de me priver de sommeil et que j’avais encore la capacité de bouger.

Lors de mon premier jet, le grand pervers du V2K (Voice-to-Skull) voyant que j’avais deviné lequel de mes tortionnaires m’avait prodigué ce «soin» malveillant pendant mon sommeil, s’empressa de me dire que c’était une toute autre personne que cet acolyte auquel j’avais songé. Il avait eu peur que je mentionne son nom sur internet. Il venait pourtant de me l’identifier en disant que celui-ci capotait afin que je le prenne en pitié. Mais, pourquoi aurais-je dû cacher l’identité du bourreau qui passait son dévolu sur moi avec un tel sadisme? Je me disais que je n’arriverais jamais à comprendre comment ces êtres pouvaient être aussi hypocrites avec les autres ainsi qu’avec eux-mêmes. Car ces mêmes personnes qui me faisaient tant mal, à d’autres moments feignaient la compassion pour moi.

Ainsi, ils me faisait de plus en plus mal. Les micro-ondes ouvraient toutes les blessures qu’ils m’avaient faites jusqu’ici jusqu’aux plus anciennes qui avaient marqué ma vie. Ma tête et mon corps frémissant d’ondulations vibratoires était presque engourdi. Toutefois, ce engourdissement n’avait pas le pouvoir d’éliminer la douleur.

2h20 La radioactivité de mon corps augmentait de plus en plus avec le temps. les chocs électriques qui surgissaient de toutes part en étaient les témoins. J’ai donc effectué un test de radiesthésie pour connaître la fréquence et l’amplitude de ces micro-ondes. Mais, l’imposteur , par une suggestion mentale qui causait des interférences, avait pris le contrôle des oscillations de mon pendule. Je n’ai donc pas réussi à trouver le la bonne mesure ni pu enlever cette grosse interférence. Pendant ce temps les radio-fréquences faisaient vibrer mon corps douloureusement en élargissant les parois de chacune de mes cellules. Je le ressentais se crisper et se déshydrater. Mon extérieur poussait tout son contenu vers mon intérieur. Ma tête voulait éclater. Mes tempes semblaient attirées l’une vers l’autre comme si les micro-ondes comprimaient ma tête. Et, pendant que j’écrivais ces lignes, l’imposteur du V2K essayait de me souffler les mots qu’il voulait que j’écrive à la place des miens. Le grondement du magnétron, lui, se mêlait aux son des acouphènes qui envahissait mes oreilles. Mes dents se serraient avec douleur qui augmentait tentant ainsi d’engourdir le mal. Et, les micro-ondes pénétraient toujours de plus en plus, traversant jusqu’à la moelle de mes os. Le bas de mon dos faisait mal. Il l’était encore plus à cause des micro-ondes qui pénétraient les zones déjà douloureuses. Mes hernies discales se faisaient encore plus bruyantes. Ces micro-ondes effrontées se frayaient bien facilement un chemin dans mes blessures préalablement fragilisées par les sévices antérieurs et à travers mon corps devenu poreux par les radiations. Mais, ce traitement déjà présent durant mon sommeil avait cours depuis plus de 7 heures. J’étais tombée d’épuisement vers 19 heures et l’hypnose m’avait gardé endormie.

Puis, je continuais d’écrire. Et, regardant ce que j’écrivais, mes bourreaux passaient leurs commentaires. Ils se plaisaient à dire que j’exagérais lorsque j’exprimais ce que je ressentais. Évidemment, cela leur évitait de se sentir coupables. D’ailleurs, je ne crois pas qu’ils avaient déjà pris la place d’une victime pour tester leur propre médecine. Pourtant, les vrais professionnels le font. Si j’en parle, c’est que l’un d’eux s’était vanté d’être un expert en micro-ondes. Un expert, c’est un professionnel, non?

Poursuivant la rédaction de ce texte, des courants électriques me parcouraient le dos, écorchant au passage toutes mes fragilités. Ça faisait très mal! De temps à autre, un autre moteur ajoutait sa partition à l’orchestre du mal. Et, le courant était plus fort et plus douloureux aux endroits les plus proches de mes implants leur servant de producteurs de signaux, les vagues d’influx électrique émanant de ces endroits.

Je les entendais discuter soulignant leur espoir de me faire passer pour folle parce que je décrivais les supplices qu’ils me faisaient vivre. C’était comme d’habitude: leur dépendance n’étant limitée que par la peur de son exposition. Ils se disaient pourtant convaincus que personne ne découvrirait la folie dont ils étaient continuellement habités.

2h45 Un autre grondement de moteur s’ajoutait encore. Pulsion de micro-ondes renouvelée ou appareil appelé en renfort? L’imposteur me disait que s’ils me faisaient tout cela c’était parce que je n’étais pas du tout comme ils l’avaient laissé croire au reste du monde. Je suppose que par leur sévices ils essayaient de me rendre conforme au produit de leurs propres fantasmes. Ils avaient toujours laissé entendre qu’ils s’arrangeraient pour me faire ressembler à ce qu’ils avaient dit que j’étais par leur traitement de fou.

C’est pour cette raison qu’ils font tout pour m’isoler et me rendre malade pour m’empêcher de quitter la maison. Ils ne veulent surtout pas que le monde constate que je suis tout-à-fait normale et que, eux, s’adonnent à des pratiques se situant loin de la normalité. Mais moi, plus ils m’en font, plus j’écris. Alors, cette nuit-là, j’informais le monde de ce qui se passait pour moi. Grâce à mon pendule, je captais les pensées de l’imposteur du V2K qui, sans aucune compassion pour ce que je vivais, cherchait plutôt les erreurs dans mon texte ou bien tentait de le corriger selon son point de vue en me soufflant des mots intrus. L’autre comparse, quant à lui, surveillait mes réactions pour voir si je souffrais suffisamment pour l’intensité du supplice prodigué.

2h55 Encore une autre pulsion fut entendue qui cette fois, provenait du magnétron du nord, l’un des appareils qui produit les micro-ondes. J’ai bien failli croire qu’un courant électrique empruntait la voie de mes veines pour monter le long de ma jambe. Mais, était-ce un simple courant électrique dû à ma propre radioactivité conséquente ou bien était-ce le Mosquito Laser qui se frayait un chemin en me décharnant la jambe en un mince sillon allongé? Je n’avais pas regardé. Sinon, j’aurais pu apercevoir se tracer le coup. Et, encore une fois, j’ai eu de la difficulté à écrire ma phrase à cause du harcèlement nformatique. Car, en plus de me servir leurs traitements de fous, ils tentaient de m’empêcher d’écrire en piratant mon ordinateur pour en altérer les fonctions.

Ainsi donc, ils regardaient le schéma de mes douleurs avec toutes ses couleurs, examinant la détresse de mon corps endolori avec l’enthousiasme d’un cuisinier attendant que son plat soit cuit juste à point. Mais, quel devait être le moment où je serais assez cuite? Devais-je être vidée de tous les liquides de mon corps ou bien si, comme la peur de leur découverte le dictait, assez cuite pour m’empêcher de vivre mais pas assez pour que l’on voit qu’on est en train de me faire cuire vivante?

3h25 Ma gorge se resserrait et mon corps s’engourdissait, encore plus encore qu’au début. Les ondes fourmillaient toujours, resserrant toujours plus mes tissus qui se déshydrataient de plus en plus. Jour après jour, je souffre de plus en plus. L’effet de cette torture est cumulatif, tant au niveau des douleurs que celui des dommages. Et, malheureusement, depuis l’insertion des dispositifs de torture à l’intérieur de mon corps, je ne peux plus utiliser aucune protection d’aluminium. Donc, de plus en plus vulnérable car de moins en moins de moyens de se protéger et de lutter.

La torture interne est devenue possible grâce aux implants qui avaient été installés à plusieurs endroits dans mon corps au moment des multiples opérations que j’avais subies dans ma vie. Ces micro-puces donnent le signal électrique nécessaire à toute torture ultérieure effectuée directement à l’intérieur du corps. Étant préparée de cette manière, les bourreaux peuvent donc maintenant me torturer même si je suis en présence d’autres personnes sans que celles-ci ne s’en aperçoivent ou qu’elles ressentent la moindre chose.

En ce qui concerne la torture de cette nuit-là, l’imposteur est intervenu pour me faire savoir qu’il n’était pas étranger à ce que je vivais parce que, disait-il, je ne pouvais pas supporter le scanner tel qu’on me l’avait mis les jours précédents. Cependant, les micro-ondes contribuaient à amplifier mon handicap et mes incapacités. Alors, pourquoi pendre cette précaution en manifestant une prétendue compassion? Ils connaissaient tous ma condition de base et cela ne les empêchaient pas de me torturer de la sorte.

Le grand espace occupé par mon cervelet non protégé depuis mon opération pour tumeur au cerveau laissait passer une quantité innombrable de micro-ondes. Celles-ci s’attaquaient directement à mon cerveau par cette ouverture. Celui-ci était très douloureux. Et, la crâniectomie s’étendant jusqu’à l’oreille, celle-ci perdait aussi de sa capacité auditive. Mais, elle en laissait tout de même entendre les courants d’air pulsés de la diffusion des micro-ondes contenues dans l’air ambiant. Cette partie de derrière le cerveau, est toujours beaucoup plus douloureuse que le reste de ma tête. Ça, ils le savaient. Et, c’est je crois, d’ailleurs, pour cette raison que mon cerveau avait été laissé sans protection lors de mon opération pour tumeur au cervelet. Ils m’avaient déjà dit qu’ils avaient quelque chose à voir avec le fait que le neurochirurgien n’avait pas refermé la porte osseuse de mon cerveau. Car, pour torturer avec les armes à énergie dirigée, ils ont besoin des orifices du corps pour entrer leurs rayons.

3h50 Pulsion encore renouvelée du magnétron du nord.

Ajout d’effets spéciaux:
4h J’ai tout à coup ressenti mon ventre se gonfler d’air. Je me suis rendu aux toilettes pour constater qu’une bonne quantité de gaz cherchaient à être évacués. De grosses crampes m’ont fait plier en deux et mon intestin s’est vidé complètement de son contenu, d’un coup sec. J’ai eu l’impression d’avoir été assailli par une grosse balle gluante placée dans mon gros intestin pour en accélérer le transit. C’était, selon leurs dires, une boule de rayons gamma flexibles et gluants utilisée pour provoquer l’évacuation rapide du corps, tel un laxatif. Mais, je me demandais bien quelle pouvait être leur motivation. Était-ce simplement un dérangement pendant que mon activité d’écriture ou bien était-ce une manoeuvre de torture pour préparer mon corps aux prochains sévices? L’imposteur me donna quelques explications. Il m’avait fait savoir que le laser était aussi associé à l’assaut des micro-ondes. En fait, c’était le laser qui avait fait gonfler mon intestin pour qu’ils puissent y déposer le laxatif psychotronique. Ceci, avait pour but de laisser le passage libre aux rayons portant les petites aiguilles qui seraient déposées le long de mon gros intestin. Ces dernières étaient destinées à ajouter encore plus de douleur aux supplices déjà en cours. Les petites aiguilles seraient poussées plus profondément dans les chairs grâce aux micro-ondes qui ouvrent les pores des cellules pour se frayer un chemin jusqu’à l’eau qu’elles contiennent pour ensuite la faire bouillir. Ce n’était donc pas seulement un simple dérangement pour un besoin naturel. Cela faisait partie de la torture, carrément. Après, j’ai ressenti les petites aiguilles dans mon rectum et surtout dans mes hémorroïdes. Puis, ressentant de ces petites aiguilles dans mes organes génitaux, j’ai compris qu’on m‘en avait placé précédemment au cours de mon sommeil lorsque j’étais sous hypnose.

4h30 L’effet des petites aiguilles se faisait de plus en plus ressentir et du sable me sortait par les yeux. Pourquoi du sable? Parce que les petites aiguilles n’en sont pas vraiment. Elle représentent uniquement l’effet que nous pouvons ressentir de ce qu’ils nous mettent et qu’eux appellent les «petits brillants». En réalité, ce sont des morceaux de mica concassé dans du sable et des saletés. Ils utilisent cela pour produire l’effet de petites aiguilles qui piquent douloureusement afin de faire souffrir au maximum. Et, en plus, elles infectent le corps afin qu’il devienne plus facilement vulnérable et malade, deuxième objectif de cette guerre cachée contre des innocents consistant à causer le plus de dommages possibles. Ceci avait été dit et écrit dans les techniques du NWO.

The Big Picture: NWO in Canada http://youtu.be/noqMQZFRti0

Certains bourreaux peuvent prendre conscience qu’ils peuvent être pris à partie, eux aussi. Ils savent que les raisons qu’ils se donnent pour torturer des innocents qu’ils croient coupables de parasitisme planétaire n’en sont pas. Ainsi, mes tortionnaires continuent leur torture comme si de rien n’était se cachant la tête dans le sable pour ne pas voir ce qui pourrait très bien être aussi leur propre sort. Cependant, ils savent très bien que ce n’est pas le sort de tout le monde de subir une telle intensité de souffrance. Car, bien sûr, ce sont seulement ceux et celles qu’ils ont réussi à faire passer pour ceux que le monde déteste le plus.

Mais, qui sont ces innocents à qui on réserve un tel sort? Ce sont tous ceux qui sont le moindrement conscient de ce qui se passe et qui peuvent alerter le reste du monde. Pourtant moi ce n’est pas cette raison qui m’a valu le «privilège» d’être torturée avec autant d’intensité. C’est la vengeance d’un homme mal informé qui a payé un mercenaire pour me détruire parce que j’étais la première fille de celui à qui il en voulait à tort, mon père que j’ai à peine connu. Mais, ce bandit, prenant son rôle très au sérieux, m’a mis dans ce système de destruction d’êtres humains qu’est le Gang Stalking avec en plus du harcèlement électronique, Mind Control et de la torture. Mais, ne se satisfaisant pas de cela, il avait voulu me voir souffrir sous l’effet d’une torture sexuelle. Donc, il a tout fait pour que la planète me prenne pour une sorte de monstre prédateur sexuel pour attirer sur moi ceux qui administrent cette torture c’est-à-dire, les tortionnaires de la «Justice de trou...» et leurs acolytes du crime organisé. Pourtant, ce type de monstre n’existe même pas. Mais... il existe dans les fantasmes des gens et cela leur suffit pour se donner le droit de faire souffrir ceux qui ont une étendue diffamatoire plus grande que les autres.

Depuis, ma naissance, j’ai eu l’occasion de constater que plusieurs degrés coexistent dans l’administration du Gang Stalking et de la torture. C’est donc un processus ascendant. Mais, peu importe la raison pourquoi les gens se retrouvent dans ce système de destruction de leur humanité, nous nous y retrouvons tous sauf une poignée d’individus qui croient posséder plus de droit à la vie que les autres. Alors, seuls l’intensité des sévices et le degré de souffrance diffèrent. Et, cette dernière dépend des intentions malveillantes des uns et des autres qui nous en veulent. N’importe qui peut nous placer dans une telle position s’il en a les moyens financiers ou s’il prend part à ce système de destruction de l’humanité et ce, qu’il soit conscient ou non de sa participation.

7h20 Augmentation de l’amplitude des micro-ondes après que j’aie eu changé de place. Ce mouvement fait suite à la fermeture impromptue de mon ordinateur. Cela était survenu lorsque je tentais de le nettoyer avec le logiciel approprié sachant que mes Perps s’y étaient introduits pendant que j’y travaillais. Ensuite, j’étais allée prendre ma douche car une aide auxiliaire devait arriver vers 8h. J’ai, malheureusement, pris quelques petits chocs électriques lorsque j’étais sous la douche. Mais, j’ai eu le temps de m’habiller et elle est arrivée. À ce moment-là, ils ont baissé l’intensité des micro-ondes et du laser interne afin qu’elle ne me voit pas en train de souffrir et aussi ceux de la torture passive pour ne pas qu’elle les ressente. Mais, peu de temps son départ après, ils ont recommencé leur manège et augmenté à nouveau tous les dispositifs électromagnétiques un peu plus fort que pendant sa présence. Et, la cuisson continua encore et encore.

Piratage informatique
3h15 du matin, j’ai tenté d’utiliser l’internet mais le service était encore coupé, comme au début de ce rallye d’écriture. Je cherchais ce que j’avais écrit antérieurement concernant les dysfonctionnements de mon ordinateur en ce qui avait trait à la rédaction mais je ne le trouvais pas. Cette partie semblait disparue. Et, l’imposteur, par le V2K, encourageait cette idée en suggérant que son acolyte enlevait des parties de mon texte. C’est pourquoi j’avais décidé de mettre la portion de harcèlement informatique dans une section à part. Alors, pendant que j’écrivais, l’imposteur insinuait que mes Perps programmaient la déformation de ma mise en page et de mes transferts futurs. C’est du moins ce qu’il avait vu (sur son écran) que j’avais fini par penser. Mais, j’ai retrouvé plus tard la partie manquante. Donc, ce fut raté pour me faire passer pour paranoïaque.

7h20 Fermeture de mon ordinateur survenue lorsque je tentais de le nettoyer avec le logiciel approprié. J’ai dû effectuer plusieurs manoeuvres parce que même la ré-initialisation de mon ordinateur ne fonctionnait pas. Puis, peu de temps après l’internet était revenu. Il faut dire que j’avais la ferme intention d’appeler encore mon fournisseur d’internet.

Pendant que je terminais ce texte, les dispositifs de torture passive étaient toujours en marche mais en plus, ils me faisaient pénétrer activement leurs gros rayons de micro-ondes dans le vagin pour me brûler encore plus et pour pousser les petites aiguilles encore plus au fond. C’était pour me faire encore plus mal. Mes tortionnaires, quant à eux, s’étonnaient de tout ce que j’avais écrit. Car, cela ne leur reflétait pas une belle image d’eux-mêmes. Ils n’aimaient vraiment pas cela même s’ils reconnaissaient que mon récit est authentique.